Fantasmagorie flamande, retour d’éditeur…

Y’a un bonheur particulier à lire un livre que vous avez édité, porté, paginé. Un bonheur et des fois des retouches, encore, avancer un peu, encore, dans la mise en forme du texte. Mais cela ne s’arrête jamais. C’est l’urgence qui sort les livres. On aurait bien aimé les garder au chaud dans l’ordinateur encore un peu, les peaufiner. Non. Le monde les appelle. Y’a un bonheur particulier à lire un livre qui existe par soi. Par ces drôles de chemins qui font les rencontres. Entre moi et un texte, un texte et une personne, une personne qui a écrit …